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POLAR SUITE 9 " LE DRAGON "

 

Maï-Li regarda sa petite fille Lân jouer à ses pieds. Elle avait 6 ans et était la prunelle de ses yeux et surtout le chouchou de son Père Wén Chéng, le plus puissant homme d’affaire de Shanghai. Les ramifications de son empire allaient partout dans le monde. Il était le propriétaire de plusieurs chaînes de magasins de beauté, de prêt à porter, possédait des entreprises de bâtiment, d’immobilier, avait crée plusieurs holdings.

Wén Chéng aurait voulu avoir un fils.

Mais depuis sa petite Lân adoré, aucun autre bébé n’était envisageable. Les médecins avaient été formels, sa femme ne survivrait pas à une nouvelle grossesse.

Un fils, son héritier, était important pour lui, mais il aimait tellement Maï-Li que de la répudier pour une autre femme lui était impossible. Il l’avait épousé alors qu’elle n’avait que seize ans. Ils avaient été promis l’un à l’autre, alors qu’ils n’étaient que des enfants. Elle était tellement magnifique, tellement belle qu’il l’a comparaissait à une porcelaine chinoise d’époque Ming.

Wén, assis à son bureau soupira. Entrain de réfléchir sur une nouvelle campagne, une collection de prêt à porter, il devait bientôt se rendre à Paris. Paris …Pensa t-il. Il y a très long temps de cela, pendant ses études, il y avait connu une jeune française. Il en était tombé éperdument amoureuse, mais ils n’auraient eu aucun avenir ensemble. Impossible de briser la loi imposée par ses ancêtres. Impossible. Alors il l’avait quitté en lui expliquant la vérité. Qui il était, les espoirs que son père mettait en lui. Son future mariage. Sur la table du petit bistro il lui avait laissé un cadeau, un souvenir, et était parti sans se retourner.

Wén se pencha sur le dessin qu’il voulait terminer et où manquait son sigle, sa signature qui ornait tous ses produits de par le monde….Un dragon. Un dragon rouge.

 

Lisa appuya sur la petite pompe qui diffusait la morphine. Elle avait mal. Elle osait à peine bouger. Le brouillard qu’elle avait eu dans sa tête s’était dissipé, faisant place à la douleur.

On frappa à sa porte et ses parents ainsi que le commissaire Socco entraient. Sa Mère se précipita sur elle, la couvrant de baisers. -Comment ça va aujourd’hui ? lui demanda Socco. Il n’avait que peu de temps pour l’interroger, 10 minutes tout au plus avait dit son médecin traitant. Pauvre petite. Quand ils l’avaient trouvé dans la forêt, non seulement elle planait mais son corps était couvert d’hématomes. Aux urgences on lui avait fait un lavage d’estomac et examiné tout son corps. Le rapport qu’il reçut ensuite le laissa bouche bée. Aucune trace de drogue, aucune piqûre nulle part. Elle avait eu des rapports sexuels très violents, mais absence totale de sperme. Ses seins avaient été meurtris et elle avait les mamelles en sang. Même sa bouche n’avait été épargnée, lèvres éclatées, une dent cassée. Sans la morphine….

Quel salaud avait bien pu lui faire ça ! Un pervers sans aucun doute. De toute sa carrière Socco n’avait vu un tel acharnement, mais elle était en vie….

-Lisa ? Lisa tu veux bien m’aider ? Tu te rappelles quelque chose ? Lisa tourna un peu sa tête vers Socco. Une larme coulait le long de sa joue. Elle avait du mal à parler, ses cordes vocales commençaient à peine à réagir de nouveau. D’après son médecin, c’était parce qu’elle avait du beaucoup crier.

Elle chuchota –Non…Rien….Enfin si…-Oui ? l’encouragea Socco en se penchant vers elle.

-J’étais avec un copain, j’ai pris un taxi…-Ok Lisa. Et après ?- Rien…Je ne sais plus.

-Comment s’appelle ton copain ??-Li. J’étais avec Li.-Il habite où ?- Je…Ne…Je ne sais plus…Pas.

- Lisa, c’est important, je veux seulement t’aider ! Tu te rappelles où il habite ?? La porte s’ouvrit et le Dr. Helisch apparut.- Ca suffit ! Les 10 minutes sont passées ! Débité, Socco acquisa, caressa la joue de Lisa. -Dans le quartier chinois…Il habite le quartier chinois, à coté d’un traiteur… répondit Lisa en fermant ses yeux.  

 

Sonja l’avait mauvais. Cela faisait une bonne demi heure qu’elle attendait maintenant Charlie ! Elle avait mis une pancarte sur la porte de sa chambre ‘Ne pas déranger’ et mis une musique rock en sourdine. Ensuite, en passant par le toit du garage, elle avait quitté la maison.

Putain quel con ! Tant pis !Elle se retourna et prit le chemin de retour.

Quand elle traversa le petit parc qui menait à la maison familiale elle entendit un bruit. Elle accéléra ses pas. Un craquement de branches mortes la firent sursauter -Charlie ? C’est toi Charlie ? Elle n’eut plus le temps de courir, un marteau s’abattit sur sa tête et lui fracassa le crâne.

 

Van Engelberg avait presque vidé tout la bouteille de Scotch. Affalé dans son fauteuil de cuir anglais il souriait. Quelle soirée ! A 36 ans la vie l’avait gâté, mais pas la nature.

A 24 ans il avait courtisé un belle jeune fille de l’aristocratie française, mais sans fortune. Il l’avait épousé, son argent y avait été pour beaucoup, et il avait évité tout rapport sexuelle avant le mariage sous prétexte de respect. Aude, qui avait eu une éducation catholique stricte, découvrit donc son mari le soir de leur nuit de noce. Il avait éteint tous les lumières et c’était coulé près de sa jeune épouse nue qui l’attendait. Ce fut un désastre. Elle ne sentit rien quand il la pénétra. Chauffé à blanc par des préliminaires savantes, elle resta sur sa faim. Ensuite, son mari prit l’habitude de la combler avec des godemichés et autres accessoires sexuels, mais elle ne le vit jamais nu. Un an plus tard, elle le trompa et connut le nirvana avec un ami de la famille qui passait par-là.

Alors elle osa allumer la lumière un soir et de ce qu’elle vit la fit rire aux éclats. Un tout petit appendice, on ne pouvait parler de pénis, mesurant en érection à peine 5 cm ! Van Engelberg la gifla violemment et ce fut la fin de leur couple.

Désormais il allait voir les putes et autres filles de joie, voyageait dans les pays asiatiques et petit à petit son esprit bascula. Il avait essayé plusieurs greffes, consulté d’éminents médecins, mais il n’y avait rien à faire. Une atrophie…Assortie de testicules énormes qui accentuent encore plus son déficit.

Bientôt il lui fallait de plus en plus de filles acceptant ses ‘jeux’, certains refusant carrément quand il arrivait avec sa valise à accessoires….Il s’aperçut aussi que les petites putes de Taiwan ou de Bangkok ne lui suffisaient plus. Les entendre se plaindre, car ses jeux devenaient de plus en plus pervers, n’avaient plus le résultat escompté sur lui.

Van Engelberg se leva. Allons-y pour la deuxième séance !Il chancela, se retiendra de justesse sur le rebord de son fauteuil. Bon, alors demain…Il n’était plus en forme. Oui, demain ! Il alla se coucher. Dans ses oreilles, comme chaque fois, il entendit encore le rire moqueur d’Aude….

 

Socco était débordé et épuisé. Il manquait cruellement de sommeil. Le quartier chinois. Ce restaurateur et Li. Deux pistes. Même pas, car le prénom de Li était tellement répandu, c’était comme chercher une épingle dans une botte de foin et à toutes les coins de rue il y avait un traiteur ! Il attendait les résultats du Labo. Il les aurait vers minuit. Aucune trace de Tina. Rien non plus au sujet des jeunes filles assassinées. Pas de piste, merde ! Finissante sa bière et la dernière bouchée de son hamburger, il quitta le MacDo. Dans sa voiture il pensa à Violette. Oui, Violette lui ferait du bien. Il se dirigea vers la maison close.

 

Joey sortit de son bain, s’enveloppa dans une serviette moelleuse et se fit son brushing. Elle était écœurée, malade de ce qui était arrivé à sa meilleure amie Lisa. Elle lui avait rendu visite et ensuite elle avait eu un besoin urgent de prendre un bain. Tomber entre les mains d’un pervers, d’un sadique ! Quelle horreur ! Elle avait pleuré pendant tout le retour de la clinique, elle voyait toujours son amie les seins bandés, la pompe à morphine et la profonde détresse dans ses yeux. Lisa lui avait confié qu’elle avait connu Li dans une boîte de nuit, qu’il était super beau et qu'elle avait totalement craqué pour lui. Qu’elle avait passé une super soirée chez lui et ensuite elle avait pris ce foutu taxi. Puis, plus rien.

Joey était révolté. Non, elle n’habitait pas Neuilly, mais St.Gratien, elle aussi, elle était belle avec ses 20 ans éclatante et l’idée lui était venue de faire sa propre enquête. A l’inverse de Lisa, elle n’avait jamais été gâtée, elle avait du se démerder après que ses parents s’étaient séparés. Faut trouver ce Li, pensa t-elle….Elle choisit avec soin sa tenue. Pas trop sexy mais très in, se maquilla à peine pour faire moins âgé qu’elle n’était. Aujourd’hui, samedi, elle allait en boîte, aux Bains Douches exactement. Pourvue que je trouve ce Li, songea t-elle.

 

Li avait commencé ses recherches dans tous les maternités environnant l’Eglise Notre Dame. Rien, il n’avait rien trouvé, aucune trace. A la fin, quand il avait débité pour l’énième fois son histoire, une infirmière lui avait suggéré que sa mère avait du accoucher chez elle ou en cachette et ne pas dans une maternité. Li avait compté sur la nouvelle loi comme quoi un enfant né sous X avait un certain droit de savoir qui étaient ses parents. Tout au moins leur mère.

Ensuite il était aller se défouler dans une salle de kick-boxing jusqu'à plus soif, avait pris une douche dans son studio du quartier chinois et s’était servi comme d’habitude un verre de lait. Il avait regardé son agenda et vu qu’il avait un défilé à Beaubourg. Il avait écouté son répondeur et entendu Monika qui lui demandait un rdv urgent, ainsi que deux autres, dont Chang, qui le priait de l’appeler. C’est qu’il fit. Chang voulait une autre fille. Li refusa et accrocha.

Li était triste. Il avait marre de cette vie. Il donna un coup de pied dans un pouf qui se trouvait à sa porté et le fit valdinguer contre le mur. Au passage il fit tomber une lampe qui s’éclata par terre. La haine. Mais d’où venait cette haine ? Le téléphone sonna à nouveau.

Chang. Il lui proposa le double, 20 000 € pour la fille. Li fit son compte, le défilé, Monika…

-Ok, mais ça sera la dernière fois ! On était samedi. Il s’habilla. D’abord le défilé, ensuite la fille.

 

Comme toujours Socco avait trouvé du réconfort dans les bras de Violette. Connaissant sa grande discrétion il lui avait parlé de ses soucis. Comme toujours Violette l’avait écouté. Arrivé au stade de la description de l’état de Lisa, Violette l’avait interrompu.- Ca me dis quelques choses. Il y a 4 ou 5 mois un type se ramené ici avec une valise. Il voulait une toute jeune fille, qu’importait le prix. Tu sais comme elle est, Germaine. Elle lui a demandé d’ouvrir sa valise. Je ne te dis pas ! Une mini salle de torture, paraît-il ! Un pervers sadique ! Germaine a refusé, et le Mec est reparti furax.-Tu peux me le décrire ?- Moi non, je ne l’ai pas vu, mais Germaine, elle, elle peut !

Socco sauta du lit. Dix minutes plus tard il écoutait attentivement la description du client débité. Germaine était physionomiste, elle avait la mémoire des visages, dans son métier indispensable. Elle lui fit même un portrait robot.

 

Irma avait encore fait un cauchemar. Affreux. La mort planait. Elle se leva péniblement, ah, cette fichue arthrose ! Une fois habillé elle donna son lait à Melchior, prit ses cartes et quitta son appartement. Arrivé au commissariat du 13ième elle demanda Socco. Il n’était pas encore arrivé et on la fit patienter. Irma s’assied sur un banc dans le couloir. Elle avait son temps, tout son temps. Elle.

 

Wén Chéng était installé au  premier rang dans la salle réservé au défilé de la nouvelle collection du Prêt à Porter Print-temps/Eté à Beaubourg. Il avait trouvé un nouveau styliste plein de talent, Din Sànzo ,et espérait que sa collection ferait un tabac. La veille il avait vu quelque models en avant premier et le choix des tissus ainsi les coupes lui avaient paru astucieux et innovateur. Sur une musique très zen le défilé commença et Wén se concentra.

A fur et à mesure que les mannequins, homme et femmes, défilaient, Wén guettait les invités tirés sur le volet et leurs réactions. Tout d’un coup, un des mannequins hommes rata la marche, près de Wén, mais au lieu de bêtement s’étaler, il fit un roulé boulé félin et se releva comme de rien n’était, comme ci ç’avait été prévu ! Il fut très applaudi, mais Wén avait cru voir autour de son cou une chaîne et surtout un dragon en or. Cela pouvait être qu’un hasard, mais malgré tout il guetta sa nouvelle apparition. Quand il repassa tout près de Wén, portant un chemisier largement ouvert par-devant, Wén put clairement voir le dragon. Il frissonna. Il fallait avoir le cœur net. Il attendit patiemment la fin du défilé, qui fut comme il l’avait espéré un grand succès, et partit dans les coulisses. Le mannequin était entrain de se changer, ne prêtant aucune attention à son environnement. Le dragon d’or s’était retourné et Wén vit nettement les initiales qui y étaient gravées. Il eut un étourdissement et quand il retrouva ses esprits, le jeune homme avait disparu.

 

Charlie avait mal à la tête. Il s’étonna d’être couché parterre près de son canapé. Charlie avait faim. Il se leva péniblement, se gratta la tête. Son minable appartement était en désordre. Mais qui avait fait ça ? Bon, plus tard il en s’occuperait, il avait promis à maman de tenir tout propre. Il ouvrit son frigo. Une odeur immonde l’accueillit. Ca doit être le fromage, pensa-t-il. Il prit dans le désordre qui régnait dans son frigo quelque chose qui ressemblait vaguement à un steak, se fit cuire des pâtes. Il avait toujours mal à la tête et il s’aperçut que ses vêtements étaient sales et boueux.  Faudrait que je prenne mes comprimés et que je lave mes vêtements, pensa t-il en lui-même. Mais d’abord je mange, oui, d’abord je mange ! Quand il mit son assiette sur la table il aperçut le petit paquet. Il le prit, le renifla, se souvenait. Merde, le kif qu’il avait promis à Sonja ! Il regarda l’heure. 21h30. Pas grave, il le lui donnerait demain.

 

Joey, confortablement installé sur un tabouret de bar et buvant un Perrier citron se trouva bien téméraire. Quelle foule ! Comment repérer un bel Eurasien ! De sa place elle avait pourtant une belle vue, mais bientôt 1h du mat et elle n’avait rien remarqué. A sa droite se trouvait une jolie rousse aux yeux verts de chat. Elle aussi, elle doit attendre quelqu’un, se dit Joey. Au moment ou elle songea à partir, elle vit un Mec se diriger vers eux. Putain qu’il était beau. Un cul fantastique que mettait en valeur son Jeans dernier cri, un marcel qui faisait voir ses bras très musclés et cette démarche félin….Joey eut le souffle coupé. Le Mec aborda la rousse. Il engagea une conversation et Joey, sut par intuition que c’était lui, le fameux Li. Ca ne pouvait être que lui ! Il fit rire la fille et elle partit danser avec lui. Maintenant elle comprenait Lisa. Beau certes, mais d’une beauté froide. Plus âgé que Lisa, Joey avait remarqué ses yeux. Beaux certes aussi, d’un noir brillant, mais froides. Elle ne savait pas quoi, mais quelque chose en lui la gênait. Ils revenaient et le jeune homme commanda une nouvelle boisson pour la rousse, rien pour lui. La fille prit son sac et partait, certainement aux toilettes, et Joey le vit mettre quelque chose dans sa boisson. Ensuite il prit son portable, fit un numero, parla quelques instants. Le cœur de Joey cogna à tout va. C’était maintenant ou jamais ! Elle prit tout son courage en main, se leva et s’approcha de lui. -Li ? Agacé le jeune homme se tourna, vit Joey.- Oui ? Lui-même. Que puis-je pour toi ?-Je suis une amie de Lisa. J’ai quelque chose à te montrer. -Lisa ? Connais pas. Il voulut se détourner, mais il n’avait pas compté sur la détermination de Joey !-J’ai vu que tu as mis une pilule machin truc dans le cocktail. Ca serait intéressante de savoir ce que c’est !Surtout après ce qui est arrivé à Lisa !

Li garda son sang froid. Comme par inadvertance il renversa le cocktail avec son coude et son continue se répandit parterre, vite absorbé par le plancher. -Oh, quelle maladresse de ma part ! Il souriait. -Tu veux danser ? Joey le regarda. Elle avait l’impression d’être devant un mur. Aucune émotion n'émanait de lui. Un mur. Mais où était sa faille ? Enfin cela n’existait pas, elle n’avait jamais connu quelqu’un comme ça. Si jeune et si vieux à la fois. Comme si tout coulait sur lui sans l’atteindre vraiment.

Joey fouilla son sac, sortit une photo de Lisa prise à la clinique. On y voyait ses lèvres tuméfiées, sa dent cassé, ses seins bandés. Et son regard plein de douleur et de détresse.

-Regarde un peu si tu as des couilles !Ca c’est Lisa, et elle était amoureuse de toi ! Tu la reconnais ?Hein ?! Non, je pari ! Elle sortit une autre photo. -Et là, hein ? Ca c’était Lisa avant ! Li prit les photos, les regarda.

-Alors on s’en va ?La rousse était revenue. Li la regarda, cachant les photos derrière son dos.

-Désolé, mais ça sera pour une autre fois. Comme tu vois, je suis occupé ! La rousse jeta un coup d’œil sur Joey puis sur Li. -Pauvre con, tu ne sais pas ce que tu rate avec moi ! Elle se tourna et disparut dans la foule. Et toi, tu ne sais pas à quoi tu as échappé, pensa Li.

-Partons d’ici. Il y a un petit bistro pas loin.

by herself SEPTEMBRE 2004

 

Ecrit par brigetjones30, le Jeudi 30 Septembre 2004, 11:38 dans la rubrique "VÉCU ".
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Commentaires :

  brigetjones30
brigetjones30
30-09-04
à 11:56

ARF!

 VIOLETTE           LI                             

SOCCO

 CHARLIE                                  

  VAN ENGELBERG

Voilà qque personnages! J'ai du tout rentrer par l'editeur script (merci ChouChou!) car l'autre ne marche pas!Chaque fois que j'essayais de le mettre dans mes écritures, ça m'annulait tout! Bref, chuis arrivée!

Bonne lecture! :))))

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  joey13
joey13
01-10-04
à 18:42

Il est genial mon role !!!

Merci briget

Bisous ;)

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  brigetjones30
brigetjones30
01-10-04
à 20:39

Re:

Oui, hein! Hihihi!!! Et c'est ne pas fini!;)

briget qui trouve écrire un polar...C'est dur!

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